| Accueil | Créer un blog | Accès membres | Tous les blogs | Meetic 3 jours gratuit | Meetic Affinity 3 jours gratuit | Rainbow's Lips | Badoo |
newsletter de vip-blog.com S'inscrireSe désinscrire
http://lambeaux-les-ruines-du-silence.vip-blog.com


Les murs en éclats de lune bleue ... Le tombeau de mes murmures ...
VIP Board
Blog express
Messages audio
Video Blog
Flux RSS

Catégorie : Rêves

Les murs en éclats de lune bleue ... Le tombeau de mes murmures ...
VIP-Blog de lambeaux-les-ruines-du-silence
  • 4 articles publiés dans cette catégorie
  • 181 commentaires postés
  • 1 visiteur aujourd'hui
  • Créé le : 18/01/2008 17:41
    Modifié : 26/01/2009 19:28

    Fille (18 ans)
    Origine : Ici et là.
    Contact
    Favori
    Faire connaître ce blog
    Newsletter de ce blog

     Juillet  2025 
    Lun Mar Mer Jeu Ven Sam Dim
    30010203040506
    07080910111213
    14151617181920
    21222324252627
    282930010203
    [ Annonces ] [ Journal à maux ] [ Rêves ]

    Extermination

    12/03/2008 18:40

    Extermination


    C'est l'un des rêves que j'ai fais quand j'étais anorexique. Un rêve ? Plutôt un cauchemar, mais pendant un long moment je ne rêvais que de scènes similaires, alors je ne savais si c'était des cauchemars ou si c'était mes rêves qui devenaient autres. L'effet était le même au fond : je me réveillais, complètement immobile, l'impression d'être vide, ou totalement morte.

    L'un des plus horrible que j'ai fais est sûrement celui-ci.

    J'étais parmis un petit groupe d'élèves, avec deux ou trois profs pour nous encadrer. Je ne connaissais pas les autres enfants, mais eux me connaissais car ils m'appelaient par mon prénom. Il pleuvait et nous étions tous en imperméable tout coloré avec des petites bottes en plastiques. Il y avait un bus qui nous attendait, et on passait devant un camp de concentration, il y avait des grilles et du grillage, du fil barbelé, le sol était boueux avec plein de gravas. Les profs nous disaient de nous dépêcher, nous faisant tenir en rang, par deux. Apparemment nous revenions d'une visite dans ce camp.

    Mais les profs nous ont arrêté devant les grilles pour laisser passer d'autres enfants, en ligne, à moitié nus, sales et pieds nus, marchant la tête basse. Les profs nous expliquaient que c'était des enfants du camp. Un militaire les arrêta et les fit se mettre contre le mur d'une façade en pierre grise. Il y avait aussi d'autres hommes armés pour nous accompagner jusqu'à la sortie, des chiens avec de grosses chaînes autour du cou.

    Les profs nous poussèrent un peu pour sortir, ils étaient visiblement pressés de quitter les lieux, surtout qu'il pleuvait comme jamais. On est passé non loin du groupe des autres enfants, j'en enlevé mon imper, mes bottes, j'ai attrapé le premier que ma main a trouvé et j'ai échangé nos places. Deux de mes amies dans ce rêve m'ont appellé mais je me suis retournée en leur disant à voix basse : "occupez vous de lui et sauvez le d'ici, je reviendrais bientôt, promis".

    Et je rentrais dans le rang des gamins, trempés et grelottant que l'on poussait maintenant à avancer plus profondément dans le camp. Ils nous demandèrent de nous appuyer à une autre bâtisse où il y avait une fenêtre, à travers laquelle nous regardions tous les uns après les autres. Je ne savais pas trop ce qu'il allait nous arriver mais j'appréhendais la suite des évênements. A travers la vitre il y avait une petite fille, crâne rasé, nue, juste avec une camisole de force, qui se cognait la tête contre les murs (en pierre). Elle bavait légèrement en souriant, ses yeux commençaient sans doute à pourrir car il y avait comme de la crasse jaune et verte vers l'intérieur de ses yeux. Des médecins entrèrent en blouse blanche et l'installèrent sur un fauteuil roulant ... je remarquais alors que si elle semblait être soule, ou un peu folle, et se taper la tête contre les murs, ce n'était pas sa faute ... elle avait une jambe tordue, comme si l'os de la rotule avait été mis à l'envers et qu'il se déboitait dès qu'elle posait la jambe pour s'appuyer dessus.

    Un homme armé nous cria dessus, et un scientifique arriva et nous fit faire une injection, je ne sais pas de quoi. Je sais que je suis tombée dans les pommes, comme un ou deux autres, et nous nous sommes retrouvés tous les 3 seuls dans un gymnase allongés sur des brancars. Un militaire nous leva, nous avions des camisoles et des sangles, il nous fit une nouvelle injection, et un autre militaire m'accompagna dans une salle, similaire à celle où il y avait la petite fille handicapée. Là une dizaine de scientifiques entrèrent, m'attrapèrent et me sanglèrent sur une sorte de table d'oppération. Ils m'implantèrent des milliers de seringues dans la peau, me l'ouvraient à coups de ciseaux, essayaient de me recoudre avec un morceau de ferraille et du barbelé.

    Je me rappelle que je me suis retrouvée, nue, à marcher seule dans la boue, et avancer devant une rangée de militaires jusqu'à une petite infrastructure, où il y avait des douches. J'entrais. Ils fermaient la porte. Du gaz sortait de petites fentes tout le long des 4 murs qui m'enfermaient, j'hurlais en tappant sur la porte, pleurant et plantant mes ongles, enfonçant mes doigts décharnés dans ma peau, puis dans mes joues, et tirer vers le bas pour m'arracher une partie du visage ...

    Je me suis réveillée d'un coup ce matin là. Complètement immobile. J'ai bougé ma main, ça m'a carressé la peau. Je l'ai senti frissonner sous mes doigts, comme si elle n'avait jamais existé avant que je la touche. Se sentir complètement vide et inexistante. Comme si j'étais vraiment morte dans ce rêve. Ben la seule chose qu'il te reste encore ce sont tes larmes. Pleurer un peu avant de se lever et recommencer un jour d'enfer comme tous les autres ...

    Comme dans un rêve ...



    Commentaire de lunastrelle (12/03/2008 22:36) :

    Aaah quelle horreur... Des aiguilles dans la peau, je suis morte là moi...


    Commentaire de Aud* (13/03/2008 09:01) :

    Je me demande comment j'ai fais pour ne pas me réveiller en fait ... je devais avoir prit l'habitude avec les autres rêves que je faisais et je devais être tellement fatiguée que je restais plongée dans mon sommeil.


    Je.Commentaire de Eliawe (17/01/2009 03:45) :

    Les aiguilles, quand j'avais ces problèmes avec la nourriture, j'en ai énormément rêvé aussi. Je sais n'être pas la seule. Même si c'était bien différent... Enfin bref. Dans un sens, au réveil, on a presque l'impression de vivre. Vide, certes, mais à remplir (ce qu'on ne fera pas...). Me comprends (c'est déjà pas mal).


    Commentaire de Aud* (17/01/2009 13:44) :

    Je comprends. J'ai beaucoup rêvé d'aiguilles aussi. Et j'ai ressenti exactement ce que tu as dit : être vide, mais vivant. Je t'embrasse fort !





    Le loup blanc

    04/03/2008 15:15

    Le loup blanc


    Ce rêve, je l'ai fait hier soir, et je dois dire qu'il m'a légèrement retourné. Très bizarre, surtout le début.

    J'étais dans mon ancienne maison, il faisait nuit, nous étions dans le salon avec ma mère. On entendait des cris d'hommes et d'animaux dans la cuisine. Ma mère se balançait sur le rocking-chair d'un air absent, haussant les épaules quand je tournais mon regard vers elle.

    "Il y a son âme qui essaye de dévorer celle de l'autre" me disait-elle à voix basse.

    Je me levais et courrais dans la cuisine. Deux hommes tentaient de séparer un renard roux, la gueule serrée autour du coup d'une poule. Je ne sais plus ce que j'ai fait pour que le renard roux lâche prise et se détourne d'eux ... je crois que je lui ai empoigné le cou et ait tenté de le lui tordre ... il s'est tourné vers moi et a prit forme à moitié humaine. Je tentais de le bloquer derrière un meuble pour qu'il ne m'atteigne pas. Il balançait les pieds et les mains dans ma direction pour m'arracher ce qu'il pouvait atteindre : une jambe, une joue, un bras ...

    Il me repoussait finalement et je tombais au sol. J'avais peur, il pouvait me tuer comme il le voulait à présent. Mais quand je me suis relevée pour tenter de l'étrangler, en dernière tentative, pour survivre, il a posé ses lèvres sur les miennes. Je ne comprenais pas trop. Il avait toujours ses griffes, mais le reste de son corps était bien humain.

    Je me retrouvais ensuite dans une voiture avec lui, sur une route totalement déserte. Pas âme qui vive. Et lui, il n'avait plus rien d'animal. Pour ma part, j'étais enceinte.

    Comme un sursaut de conscience, je me retrouvais à nouveau ailleurs. Dans un vieux couloir souterrain, il n'y avait pas beaucoup de lumière, mais énormément de gens marchait en tout sens, pressés. Les larmes aux joues je me mettais à hurler que mon fils était un monstre, tentant de me réconforter en me disant : ça fera avancer les recherches scientifiques, il fallait bien que ça tombe sur quelqu'un.

    Les gens se mettaient à courir, en hurlant, gesticulant, cherchant une sortie qui n'existait pas. Il y avait un escalier que j'empruntais à contre courrant de la foule, puis un loup blanc, énorme. Tout le monde fuyait. Vu qu'il me tournait le dos, je l'aggripais par le cou en tentant de l'étrangler, de le retenir aussi pour qu'il ne fasse du mal à personne. Etait-ce mon (prétendu) fils ?

    Plus j'essayais de l'étrangler, plus je sentais ses os, et sa gueule déformée sous mes mains. Il tournait vers moi des yeux remplit de haine, de rage, de folie furieuse. Il se mettait à vomir sur le sol, j'étais moitié perchée sur son dos, et il me traînait dans les couloirs de cet immeuble en béton ...

    De la pitié. C'est ce qui me poussait à déserrer mes mains, à le libérer de mon emprise. Il s'ébroua, me projettant en arrière, et heureusement, assez loin derrière lui. Les gens s'enfuyaient, il y avait du grillage un peu partout pour bloquer les accès aux sorties. Le loup se métamorphosa en homme. Il prit une sorte de fusil et commençait à tirer dans le tas. Avec d'autres enfants, on trouva un ascenseur. Plusieurs montèrent à l'intérieur, rassurés, souriants. L'ascenseur referma ses portes. Les câbles lâchèrent, et l'ascenseur descendit à toute vitesse s'écraser sur le sol, au moins une centaine d'étages plus bas.

    Les autres enfants furent attrapés, ceux qui tentaient de se cacher étaient tués par un groupe d'hommes, sans doute au service de l'homme-loup. Je me souviens avoir vu un gamin juste devant moi fermer une grille pour s'enfuir et bloquer le passage. Un chat tigré arriva, miaula et cracha dans sa direction, le poil hérissé ... un homme se tourna dans notre direction et tira. J'ai vu l'enfant s'écrouler, et moi ... je me suis réveillée.

    Je déteste me réveiller en ayant le sentiment d'être morte. D'effleurer ma peau et la sentir frémir comme si avant ma carresse, elle n'avait pas existé. Je déteste ça. Sentir le vide.



    Commentaire de lunastrelle (05/03/2008 17:22) :

    Purée c'est quoi ce rêve? Mmmm.... Je sais que tu adores les renards, le loup blanc dans l'histoire a peut-être un rapport avec le loup noir...


    Commentaire de Aud* (05/03/2008 19:04) :

    J'y avais pensé ... mais le loup noir c'est toujours une sorte de sursaut de conscience, une peur ... une allucination si je puis dire ... mais tu as sûrement raison ...





    Le pont des ruines ...

    14/02/2008 15:41

    Le pont des ruines ...


    J'ai rêvé ...

    J'étais dans une salle en pierres grises et suintantes, recouvertes par endroit d'un peu de mousse, cet endroit était grand, spatieux, à plafond haut, on aurait dit un temple, d'ailleurs, il y avait un autel en pierre gravée d'étranges symboles, avec quelques fleurs fanées, et de vieux bijoux en or ternis par le temps. Ancien, très ancien comme endroit.

    Je me souviens que je n'étais pas seule. Il y avait d'autres personnes avec moi. Des elfes, et d'autres créatures fantastiques, certaines avec des ailes, une peau colorée ou des cheveux blancs, munis d'étranges armes. L'on surgissait d'une autre salle par une sorte d'arcade ronde. Il y avait là une vieille femme avec un bâton long, fin et très souple, un regard mauvais, récitant des incantations dans une langue étrange et mélodieuse.

    Je crois avoir vu les autres courrir en tous sens pour empâler et se battre contre des sortes de goules de pierre et des loups de terre boueuse. Au milieu de tout ce tapage, elle me fixait, je prenais alors une sorte de baguette en bamboo, semblable à la sienne et je m'avançais vers elle, chantant les mêmes mots, avec la même profondeur et la même voix claire ... L'on pointait nos baguettes l'une en direction de l'autre comme pour se battre à l'escrime ou lancer un sort. Elle ferma les yeux, et me barra le chemin vers une autre arcade de pierre ... je changeais de chant.

    Je récitais autre chose. Je ne sais quoi. Toujours dans cette même langue, et dos à l'autel, je la voyais pâlir, les yeux fermés, reculer de douleur et suffoquer. Un elfe aux cheveux d'or, les yeux bleus comme le ciel au coucher du soleil arriva et lui trancha la gorge d'un coup sec. Il me cria d'y "aller".

    Ce sont mes jambes qui m'ont guidé. Je suis passée à travers cet autre arcade ronde et me retrouvais devant un paysage désolant. Je marchais sur un pont en rondins de bois pour m'avancer à l'intérieur de ce qui semblait une sorte d'ancien temple maya transformé en marécages. Des ruines ... les ruines d'anciens lieux soutenaient le pont de part et d'autres ... Il n'y avait pas de soleil, pas de lune, le ciel était gris et sombre, nuageux et tourmenté.

    Je savais dans ces ruines sous le pont, d'autres créatures mythiques retenues prisonnières. D'autres elfes, d'autres étranges êtres, des licornes et des chevaux ailés aussi. Mais je ne sais pas, soudain un torrent s'est déversé depuis le haut des murs en pierres, noyant l'endroit sous une eau claire, froide mais sombre. L'eau agitée de remous s'évacuait dans une sorte de grotte souterraine, et toujours mouvante, il semblait que toute l'eau de cet autre monde venait se déverser à tout jamais ici.

    C'était je crois, le genre d'eau à vous déchirer les entrailles, à vous donner comme une nouvelle vie s'il vous arrivait d'en boire. Je m'essayais au bout du pont et trempais mes pieds dans l'eau froide pendant que les autres arrivaient. Je sais que l'elfe aux cheveux d'or a plongé pour trouver les prisonniers et les libérer.

    Pendant un court instant, tout le monde semblait en deuil, affolé, paniqué ... je remarquais alors à côté de moi deux trous dans le pont pour que l'eau mouvante puisse jaillir dans deux sphères en cristal. Je voyais des plantes y pousser avec une sorte de noeux en tissus blanc et pâle à la place des racines et des bulles remonter et faire grandir la jeune pousse à une vitesse incroyable.

    J'arrachais le plant et le sortait de l'eau. Au contact de l'air, le noeud de tissus implosait en des milliers de bulles de terre et d'air, pendant que les feuilles d'un vert chatoyant s'ouvraient et que les fleurs s'épanouissaient à très grande vitesse. Je lançais ces plantes, ça et là, et des arbres, de la mousse, des lianes poussèrent petit à petit dans cet endroit, qui maintenant ressemblait à un jardin de mystères. J'arrachais une autre plante, et la déchirais, tendant les miettes à une petite fille pour qu'elle les sème à son tour. Mais elle trouvait l'endroit triste.

    J'arrachais une sorte de chardon blanc du bocal, la tenant dans mes mains et imaginant où je voulais qu'il apparaisse des fleurs. Un instant plus tard la plante dans mes mains avait totalement disparue, dissoute par magie, et je voyais alors dans ces ruines, de minuscules fleurs blanches. Il y en avait partout, et à juste mesure, de quoi seulement rendre l'endroit paisible et agréable.

    Levant les yeux au ciel, je voyais la galaxie, l'univers tourner doucement sur lui même en un frôlement de petites taches sombres et de couleurs ... Tout donnait le vertige. Le coeur sur un petit nuage, tout le monde retourna sur ses pas, et franchi l'arcade en pierre. Je me retournais pour voir l'elfe aux cheveux d'or grimper sur le pont, les remous soudain de l'eau m'indiquant que les autres prisonniers le suivaient. Il tourna vers moi ses yeux de nuit ...

    ... et je me réveillais.



    Commentaire de lunastrelle (14/02/2008 21:38) :

    On dirait ton Ange, le gladiateur...

    Et puis... Par son regard, il t'a fait comprendre que tu avais accompli quelque chose d'important, de bien pour toi déjà...


    Tu le reverras dans un de tes prochains rêves


    Commentaire de Aud* (15/02/2008 12:15) :

    Je ne sais pas si c'était mon gladiateur. En tout cas il ne lui ressemblait pas. Je ne sais pas vraiment si c'était lui. En tout cas, j'y avais pas pensé, c'est du bien vu ^^





    Introduction

    14/02/2008 15:39

    Introduction


    Si vous ne savez pas où je trouve l'inspiration pour écrire cela ... moi non plus. A dire vrai ce sont des rêves que j'ai fais. Des rêves magnifiques dont je me rappelle avec exactitude, dans le moindre détail (c'est aussi pour cela que je mets autant de description).

    En général ceux dont je me rappelle aussi bien ont plus tard une valeur symbolique à mes yeux. Je ne vous demande pas d'y croire, je ne vous demande pas non plus de commentaires, je veux juste partager, et aussi me servir peut-être de ce blog comme d'un carnet de mémoire.

    Tout ce que je sais c'est que j'ai énormément de chance de faire de tels rêves. Des rêves aussi magnifiques. J'ai fais aussi de drôles de cauchemars à certains moments et sans doute les répertorierais-je ici. Là je ne dis pas que c'est une chance de les avoir fait mais plutôt que c'est tout aussi une partie de moi.

    Les rêves sont d'étranges aléas de l'esprit ...

    Bonne route dans mon sommeil !



    Commentaire de lunastrelle (14/02/2008 21:33) :

    Les rêves ont plusieurs sens et dimensions...


    Commentaire de Aud* (14/02/2008 21:45) :

    Tout a fait d'accord avec toi ma Juju


    Commentaire de Worlds-noperfect (18/05/2008 11:59) :

    Bonjour. Je vous souhaite une très belle journée, en esperant que vous passez un bon dimache ensoleillé. Tendre bise. _ La Petite Olivia.

    http://worlds-noperfect.vip-blog.com

    Commentaire de Aud* (18/05/2008 21:11) :

    Merci Olivia, je te le souhaite aussi ^^ Bisous !





    1
    [ Annuaire | VIP-Site | Charte | Admin | Contact lambeaux-les-ruines-du-silence ]

    © VIP Blog - Signaler un abus